Les hommes ont renoncé à vivre pour assurer la survie d’une économie censée garantir la survie de l’espèce. Ils ont arraché à la nature des ressources qu’elle leur eût prodiguées sans limite, à peine de les restaurer, et ils les ont dénaturées dans le même temps qu’il dénaturaient la femme, l’enfant et leur propre humanité.
Ils ont, avec la rage du profit et du pouvoir qui les rendaient étrangers à eux-mêmes, dévasté la planète jusqu’à un seuil de tolérance au–delà duquel il ne leur reste que la folie de se détruire ou la résolution de se recréer.
Le progrès dans l’art et la science des guerres n’a jamais fait que traduire de façon régressive la volonté de se battre pour devenir humain.
Le libre-échange omniprésent planifie une paix des cimetières planétaires sans autre violence que de tout étouffer progressivement sous les mailles de la rentabilité. C’est une mort lucrative et consentie, dans la fureur rentrée.
Ils ont, avec la rage du profit et du pouvoir qui les rendaient étrangers à eux-mêmes, dévasté la planète jusqu’à un seuil de tolérance au–delà duquel il ne leur reste que la folie de se détruire ou la résolution de se recréer.
Le progrès dans l’art et la science des guerres n’a jamais fait que traduire de façon régressive la volonté de se battre pour devenir humain.
Le libre-échange omniprésent planifie une paix des cimetières planétaires sans autre violence que de tout étouffer progressivement sous les mailles de la rentabilité. C’est une mort lucrative et consentie, dans la fureur rentrée.
tancredo infrasonic
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